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Les rues de Rouen d'hier et d'aujourd'hui

C
Caen (Avenue de)
Cage (Rue de la)
Calende (Place de la)
Campulley (Rue de)
Canadiens (Rue des)
Cantelles (Rue des)
Capucins (Rue des)
Carmélites (Petite Rue des)
Carmélites (Rue des)
Carmes (Place des) Avant de s'installer rue Eugène Delacroix, le marché aux fleurs se tenait sur cette place depuis son transfert en 1857 car précédemment il se tenait sur la place de la cathédrale.
     
     
Carmes (Rue des)
     
Carnot (Place) Autrefois située au débouché du pont Boieldieu, elle fut aménagée en 1900 pour servir la nouvelle gare d'Orléans. Baptisée ainsi en souvenir du président Sadi Carnot qui visita Rouen en  1888 et fut assassiné en 1894.
     
Caron (Impasse)
Caron (Rue)
Carretour (Rue du)
     
Carrel (Rue Armand)

Armand Carrel, journaliste et écrivain politique né à Rouen en 1800 et mort lors d’un duel le 25 juillet 1836 à Saint-Mandé, français. Il fonde en 1830 le National avec Thiers, quotidien républicain qui jouera un grand rôle dans l’avènement des Trois Glorieuses par ses attaques incessantes contre le régime de Charles X. Cette rue s'appela jusqu'à la révolution de 1848 rue de Joinville.

     
Cartier (Avenue Jacques)
Carville (Impasse de)
Carville (Rue de)
     
Cathédrale (Place de la)
     
Cauchoise (Place)  
     
Cauchoise (Rampe)
     
Cauchoise (Rue) La rue rejoint la place du Vieux-Marché; elle comprend de nombreuses maisons à pans de bois essentiellement du XVIIe siècle dont les plus remarquable sont situées aux numéros 70 (1602) et 47 (1631) laquelle est dotée d'un portail surmonté d'un cygne.
Cavelier de la Salle (Quai)

René Robert Cavelier de La Salle est né à Rouen le 22 novembre 1643 et mort le 19 mars 1687 dans le sud de la colonie française de Louisiane, actuellement l’Etat américain du Texas.
Explorateur-voyageur, il a exploré la région des Grands Lacs des États-Unis et du Canada, puis le fleuve Mississippi et a ainsi découvert les territoires situés entre le Québec et le delta du Mississippi

Cecille (Rue de l’Amiral)
Célestins (Rue des)
Cercle (Rue du)
Cerné (Place du Dr Alfred) Maire de Rouen de 1928 à 1929. Appelée précédemment place Bouvreuil .
Chaîne (Rue de la)
Champ de Foire aux Boissons (Rue du)
Champ de Mars (Esplanade du)
Champ de Mars (Rue du)
Champ des Oiseaux (imp)
Champ des Oiseaux (Rue du)
     
Champ du Pardon (Rue du)
Champlain (Avenue)
Champmeslé (Rue de la) (1644-1698), née à Rouen, elle fut une des actrices les plus célèbres du XVIIe siècle; maîtresse de Racine.
Champs (Av de la Porte des)
Champs Maillets (Rue des)
Change (Rue du)
Chanoines (Rue des)
Chantereine (Rue)
Charrettes (Rue des)
Chasselièvre (Rue)
Chastellain (Avenue Jacques) Maire de Rouen de 1945 à 1958
     
Cheruel (Rue Adolphe) Appelée jusqu'en 1892 rue Neuve-Beauvoisine.
Chirol (Rue Pierre) né le 25 août 1881 à Rouen et mort le 21 novembre 1953 également dans cette ville. Architecte, il fut membre de l'Académie de Rouen (président en 1926), président de la Société des architectes de la Seine-Inférieure et de l'Eure (1927), président de la Société des Amis des monuments rouennais, professeur à l'école des Beaux-Arts. Il est inhumé au cimetière monumental de Rouen.
Choisnard (Rue)
Chouquet (Rue du)
Cideville (Rue de)
Cigogne (Rue de la)
Cigogne du Mont (Rue de la)
Civille (Rue François de) François de Civille: gentilhomme rouennais qui lors du siège de Rouen par l'armée catholique en septembre 1562, s'est battu dans les rangs protestants. Blessé et laissé pour mort, il est alors enterré .Il est sauvé par son domestique venu le récupérer afin de pouvoir l'inhumer dans le caveau familial . Il meurt pour de bon le 23 décembre 1610.
Clemenceau (Cours)
Clos des Marqueurs (lmp du)
Clos des Marqueurs (Rue du)
Clos Thirel (Impasse du)
Clos Thirel (Rue du)
Cochet (Rue de l’Abbé) L'abbé Cochet né à Sanvic (aujourd’hui quartier du Havre) le 7 mars 1812. A 18 ans il se prend de passion pour l'archéologie. Ordonné prêtre en 1836 mais sa carrière ecclésiastique est de courte durée. Six ans plus tard, il est reçu à l'académie de Rouen, puis nommé inspecteur des monuments historiques pour le département de la Seine-Inférieure en 1849. Enfin en 1867, il devient conservateur du Musée des Antiquités de Rouen, s’installe dans la ville, il est nommé conservateur du Musée des antiquités de Rouen.
Il fait preuve d’une activité intense, parcourant la Normandie dans tous les sens pour visiter les églises et les monuments, les décrire, les faire restaurer, entreprenant des voyages à l’étranger pour y voir musées et collections privées et y rencontrer d’autres érudits. Il entreprend aussi de nombreux chantiers de fouilles sur tout le département.
Ses travaux d’exploration des antiquités romaines et de l’archéologie franque lui confèrent rapidement une grande notoriété et est considéré comme un pionnier de l’archéologie franque.
Il meurt le 1er juin 1875.
Coignebert (Rue)
Colombier (Rue du)
Conquérant (Pt Guillaume le)
Conquérant (R Guillaume le)
     
Constantine (Passage)
Constantine (Rue de)
Contrat Social (Rue du)
Corderie (Rue de la)
Cordier (Rue du)
Corette (Rue Michel)
     
Corneille (Pont Pierre)

Pont Corneille: pont construit en 1952 en remplacement d'un pont de pierre décidé en 1813 par Napoléon 1er après sa visite à Rouen et mis en service en 1829.Ce pont fut réalisé par Corneille Lamandé qui venait d'achever le pont d'Ièna à Paris, fut détruit en juin 1940 pour retarder l'avancée des Allemands. Son nom changea plusieurs fois: pont de Pierre, pont circonflexe en raison de sa forme, pont d'Angoulême, pont d'Orléans puis enfin en 1848 pont Corneille en hommage à l'écrivain dont la statue est installée à la point de l'île Lacroix. Le pont actuel fut inauguré le 19 juillet 1952.

     
Corneille (Quai Pierre)

(6 juin 1606-1684) né à Rouen au 4,rue de la Pie, il fréquenta le lycée qui prit son nom de 1615 à 1622. Il a résidé à Petit-Couronne. Il aurait séjourné au manoir du Fay à Yvetot dans les années 1640, et y aurait écrit Polyeucte.

     
Corneille (Rue Thomas) (né à Rouen le 20 août 1625, mort aux Andelys le 8 décembre 1709) juriste et auteur dramatique français. Né à Rouen comme son frère Pierre, son aîné de 19 ans, Thomas Corneille s'appliqua toute sa vie à suivre la voie de son aîné. Il fut, comme lui, juriste puis auteur dramatique. Son Timocrate, entre autres, connut un immense succès en 1656. Il écrivit, seul ou avec son frère, une quarantaine de pièces de théâtre. À la différence de son frère, il s'appliqua à tous les genres dramatiques et notamment l'opéra. Il épousa la sœur de la femme de Pierre et quitta Rouen pour Paris en même temps que lui. Élu à l'Académie française en 1685 au fauteuil de son frère mort l'année précédente, il s'attela à un Dictionnaire des termes des arts et des sciences en complément du dictionnaire de l'Académie (1694) puis à un Dictionnaire universel géographique et historique (1708).
Côte Blanche (Sentier de la)
Côte Sainte-Catherine (Chemin de la)
Coteau (Rue du)
Cotonniers (Place des)
Coulon (Rue)
Coupe (Rue de la)
Court (Rue Joseph)
Cousin (Rue)
Couture (Rue)
Crevier (Rue)
     
Croix de Fer (Rue de la)
Croix de Pierre (Place de la) Le nom de cette place provient d'une croix dressée au XIIe siècle comme symbole de réconciliation entre le roi Richard Cœur de Lion et l'archevêque de Rouen. La fontaine actuelle est une copie du XIX<sup>e</sup>, les vestiges de l'original se trouvent dans les jardins du musée des Antiquités. Une place de forme triangulaire comme l'étaient les places médiévales. C'est aussi un haut-lieu de l'Histoire sociale de Rouen puisque c'est ici qu'en février 1382, les tisserands se rassemblèrent pour déclencher la révolte dite de "La Harelle" contre les nouveaux impôts et pour les libertés communales.  
Croix Verte (Rue de la)
     
Crosne (Rue de)

 

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Date de dernière modification de cette page

11/11/2024 19:00





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